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Écrit par Felkrir   

 

C’est lors de leur rendez-vous hebdomadaire à la Marmite Dorée que Benito, Henry, François, Hussard et Rodrigue discutent de récents événements ayant bouleversé leur vie parisienne.. Au milieu du repas, un jeune coursier apporte un colis pour Benito. Il s’agit d’un livre bien étrange : une couverture noire ornée d’un symbole contenant … un recueil de poèmes. Le livre est accompagné d’une lettre de Theodorus présentant l’objet comme pouvant être d’une grande utilité à Benito. En feuilletant le livre, Benito trouve un message codé. Après réflexion, le livre contient le code permettant de traduire le message : il s’agit d’un rendez-vous le 18 mai au soir porte d’Auteuil. Parallèlement, François et Rodrigue sont conviés au bal de printemps du Louvre et Henry Lassigny est convoqué par le lieutenant de police Laffemas sur l’heure.

Deux jours plus tard, les personnages décident de se rendre au rendez-vous indiqué afin d’en savoir plus. Ils se retrouvent pris au beau milieu d’une embuscade tendue par des brigands envers un convoi militaire. Les assaillants étant bien supérieurs en nombre, ils n’ont aucun problème à parvenir à leurs fins : deux des chariots sont incendiés et le troisième emmené par la bande. Rodrigue parvient toutefois à intercepter l’un des bandits. Pendant ce temps François se hisse sur un toit et se retrouve aux prises avec le chef des bandits : Hugo Le Vigan. Celui-ci a l’avantage jusqu’à ce que les tirs de Hussard et Lassigny le mettent en fuite. Une boucle d’oreille trouvée sur un assaillant semble orienter la piste vers le port de Paris. Les assaillants étaient de plus porteurs de costumes de soldats espagnols.

Le lendemain François et Rodrigue se rendent au bal de printemps au Louvre, accompagnés de Hussard et Benito qui se font passer pour leurs serviteurs. Lassigny a lui été chargé par Laffemas de surveiller les jardins et prévenir les duels intempestifs. L’attaque de la veille a considérablement affecté la position du nouveau maréchal des armées, le Duc d’Amboise. Son principal opposant, le Duc d’Enghien est en grande discussion avec le Baron de Courcy et le Marquis de Verneuil. Alors que François fait des prouesses pendant le menuet, Rodrigue se retrouve provoqué en duel par le baron de Courcy dans les jardins du Louvre. Avant que les hommes de Lassigny n’interviennent, Rodrigue aperçoit une étrange lueur dans les yeux de son adversaire. Dans les coursives du palais, Benito et Hussard sont à la poursuite d’un inconnu encapuchonné particulièrement redoutable. Malgré tous leurs efforts ils ne parviennent pas à remettre la main dessus avant la fin de la soirée. François apprend de son côté que l’attaque de la porte d’Auteuil n’était pas la première. Le Duc d’Amboise le charge donc de mettre un terme à tout ce complot.

Bien décidés à résoudre ce mystère, Lassigny et Rodrigue se rendent au port au plâtre pour enquêter. Ils aboutissent dans une auberge près de la Seine où le patron leur donne rendez-vous le lendemain pour plus de discrétion. En repartant, Rodrigue surprend le marquis de Verneuil en conversation avec un homme louche. Ils parviennent à intercepter l’homme qui devait transmettre un nouveau message codé au baron de Courcy. Parallèlement, en dépouillant le livre de sa couverture, Benito identifie le maître relieur à l’origine de ce travail : il signor di Gasperi. Il décide d’aller le voir à la première heure le lendemain.

A l’aube du lendemain, Benito et Hussard se rendent à la boutique du maître relieur. La porte est entrouverte et le relieur gît par terre baignant dans son sang. L’atelier a été fouillé et après quelques instants il apparaît que le meurtrier est toujours présent : il s’agit du même individu masqué qu’ils ont poursuivi dans le palais. Un combat s’en suit et rapidement l’individu prend le dessus grâce à sa force surnaturelle, et parvient à s’enfuir. Après avoir fouillé l’atelier, Benito et Hussard s’aperçoivent que seul le registre est manquant. C’est alors qu’ils sont surpris par la nièce du maître relieur : Camilia di Gasperi. Croyant être en présence des meurtriers de son oncle, celle-ci, à leur très grande surprise, tire l’épée et engage Benito au corps à corps. Le malentendu est néanmoins rapidement levé et bientôt la jeune femme s’effondre en sanglots. L’inspecteur Lassigny est également averti par les gardes de la milice de ce forfait. Une enquête de voisinage permet d’apprendre que le maître relieur employait un jeune garçon à son atelier.

Le décodage du message apprend aux personnages qu’une attaque sera organisée contre l’hôtel d’Amboise. Ils décident d’y aller pour organiser la défense du bâtiment et surprendre les agresseurs. Pour ce faire ils réquisitionnent une troupe de mousquetaires. Parallèlement, Benito retrouve la trace du jeune garçon de course employé chez le sire di Gasperi. Celui-ci, terrorisé, accepte néanmoins de l’aider. Il lui révèle que trois personnes ont récemment porté des livres à relier : Theodorus Lazzaro apparemment ami du relieur, un certain François Daurier, ainsi que le baron de Courcy. Rodrigue identifie Daurier comme étant un fin tailleur à Paris. Le soir, les personnages se retrouvent à l’hôtel d’Amboise pour attendre l’attaque.

Au petit matin, l’assaut est donné. Tout commence par l’intrusion de plusieurs hommes masqués à l’intérieur de l’hôtel, rapidement interceptés par Bénito. Puis vient l’assaut général dans la cours. Les mousquetaires de Monsieur de Frégnac manquent d’être submergés par le nombre lorsque Hussard se jette dans la mélée faisant basculer l’avantage en faveur des défenseurs. Bientôt la victoire est acquise, mais les chefs de l’expédition demeurent hors de portée. On apprendra dans la journée que le marquis de Verneuil est à présent en fuite, confondu par des preuves et témoignages accablants.

Lassigny décide d’aller perquisitionner chez François Daurier. Celui-ci clame son innocence ne comprenant point de quoi on l’accuse. Les personnages mettent à jour une sorte de laboratoire secret au sous-sol. Celui-ci contient d’étranges produits et mixtures, une table sur laquelle est disposée un mannequin de bois incomplet gravé de symboles étranges, et une petite bibliothèque contenant notamment un livre bizarre : un ensemble de textes en gaélique, reliés par une couverture noire des plus inquiétantes. Malgré ses protestations, François Daurier est conduit par les archers de Lassigny jusqu’à une cellule sous bonne garde. On retrouve également chez lui le livre de comptes du maître relieur.

Dernière expédition, chez le Baron de Courcy que l’on n’a plus aperçu depuis quelques temps. Arrivés à son hôtel, le majordome les fait patienter dans un salon le temps d’aller quérir son maître. Un hurlement retentit alors, et les personnages découvrent rapidement une scène d’horreur. Dans une salle reculée, le cadavre du serviteur gît dans une mare de sang, occis par le baron au regard empreint de folie. Au milieu d’un pentacle dessiné en lettres de sang, le baron ne cesse de murmurer le nom Ntsaach avec une voix semblant venir d’outre-tombe. Les personnages font promptement feu de leurs pistolets et le baron possédé s’effondre dans un râle d’agonie. Dans la pièce les personnages découvrent un troisième livre : des écrits sataniques reliés par la couverture du recueil de poèmes. Ainsi les trois livres sont finalement reconstitués. Ils décident de brûler le livre maudit.

Une silhouette encapuchonnée erre toujours sur les toits de Paris…


 

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